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Mon marché le long des quais parisiens ^+!!!

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Ce dimanche je suis allée faire mon marché le long du Quai des Grands Augustins.

L’événement gastronomique de ce week-end c’était le GRAND MARCHÉ SUD DE FRANCE.

Pour changer de l’ordinaire cet agréable rassemblement de producteurs se déroule en plein air, ah la la quel plaisir de goûter à la bonne humeur, la convivialité et à l’art de vivre méditerranéen. Quel bonheur de promener mes papilles sur les quais parisiens en faisant mon marché.

Ici les producteurs sont comme des poissons dans l’eau, heureux de me faire découvrir et déguster les produits de leurs tiroirs ^+!!!

En fait je suis venu ici pour Fan&Jicé Robin agriculteurs en Piémont Cévenol.

Je souhaitais racheter un produit découvert sur l’événement pari fermier de Levallois début juin, le sirop de figue épais.

Un flacon de sirop sublime et gouteux à la texture bien épaisse que j’utilise dans la marinade du poulet, en nappage des crêpes, sur un fromage blanc, un yaourt de brebis…

Manque de bol c’est la rupture de stock… D’ailleurs il ne reste plus grand chose à se mettre sous la dent sur le stand de Fan&Jicé pour ce dernier jour. Il faut dire qu’il sont dans le guide du petit futé, j’aurais dù me méfier.

Heureusement j’attraperai au vol, de justesse devant deux gloutons Allemand frénétique en mode acheteurs compulsifs (si si la dégustation, ça rend fou j’vous dis) une exellente huile d’olive et cèpe garantie sans utilisation d’arôme ni conservateur.

Pas surprenant que le goût du cèpe soit si fidèle, il y en a dedans ^+!!!

Sublimeras risotto, pâtes fraîches, ravioles du Dauphiné, des pommes de terres sautées ou simplement sur une salade de mâche, copeaux de parmesan et feuilles de roquette.

Mais aussi :

.le cake aux figues, délicieux et incroyablement moelleux.

La confiture extra de figues fondante, gourmande et irresistibleee !

.La confiture de figues et poires aux morceaux généreux.

.Le condiment route des Indes courge et épices (en marinade pour les grillades, les currys, légumes sautés)

.le chutney de tomates rouges, je l’imagine déjà sur le bord d’une assiette essayant de séduire un beau fromage de Brebis ^+ !!!

Par amour du travail bien fait, les ptits +++ qui font toutes la différence :

Tous les fruits et légumes utilisés dans les recettes sont issus de l’agriculture de la ferme (mis à part le citron), tous les fruits et légumes sont cuisinés séparément afin de respecter leurs temps de cuisson respectif.

En trois mots, cultivés, chouchoutés et cuisinés à la ferme par leurs soins.

Donc ici pas de « râgougnace » ! ( ma première insulte culinaire)

Un vilain mot que m’as appris Jicé, ce qui veut dire pour les profanes comme moi : jeter tous les légumes ou fruits dans une marmite et les faire cuire ensemble avec le même temps de cuisson…

Dans ma musette également ce jour là :

. Une huile d’olive cuvée Lucques du Lanquedoc, douce, élégante et raffinée.

Mais aussi la beaucoup plus puissante huile d’olive cuvée Pitcholines de pays au caractère bien trempé.

Deux variétés reine de la coopérative de l’Oulibo (fondé en 1942) des olives de qualité qui font la richesse de ce terroir. Produit labéllisé « sud de France » www.loulibo.com
J’ai acheté pas mal de fruits et légumes frais de saison, asperges, melon, etc…

Et j’ai fait le plein de savoureux yaourts fermiers au lait frais entier de brebis (Bio)

A la ferme de Causse de Lozère. Produit labéllisé « sud de France ».

. Yaourt au miel (médaille d’or Paris 2011)

. Yaourt nature (médaille d’argent Paris 2011)

. Yaourt à la châtaigne (médaille d’or Paris 2011 très, très bon)

. Yaourt à la confiture de lait de brebis (MiAaam)

. Yaourt aux fruits rouges (médaille d’argent Paris 2011) à priori, je ne suis pas trop fan de yaourt aux fruits…

Mais j’ai revu mon point de vue immédiatement après dégustation, conquise par le goût intense du cassis et de la mûre.

. La confiture au lait entier de brebis. Hummm, onctueuse et joliment caramélisée. Pour le plus grand plaisir des puristes de la confiture de lait .

Rien que de tourner la cuillère dans le pot, j’en ai l’eau à la bouche.

Et là, j’ai envie de dire WahOoou exellente ^+!!!

Pour les moins convaincus, il existe aussi de la confiture de lait brebis au goût moins prononcé plus crémeuse et moins caramélisée, parfaite pour une première approche gustative .

Les ptits +++

La principale préoccupation de Mauricette et Christian Delon étant le bien-être de leurs animaux .

Ainsi toutes la famille veillent à ce que les brebis et les vaches disposent d’une bonne alimentation (foin), d’une bergerie toujours propre et saine et de suffisamment d’espace pour gambader. Conservant des techniques traditionnelles délaissées par les industriels, pas surprenant que les produits à la saveur remarquable issus de cette élevage soit de si haute qualité. www.caussedelozere.fr/present/index.html

Par bonheur quelques-uns de ces bons produits fabriqués à la ferme sont en vente chez Naturalia, what could be better ? MiaAaaaam !

 

Ptit tour gourmand au « Salon mer & vignes et gastronomie » ou comment l’Aligot m’a achevé…

Armée de deux grands sacs shopping, je me suis rendu au salon Salon Mer & vignes et gastronomie.

Histoire de prendre des forces et pour bien commencer la visite, j’ai fait une halte gourmande chez « les Aveyronnais » qui proposaient un menu très light : boudin noir & aligot et gâteau à la broche flottant sur sa crème anglaise …

(Oooh malheur ! Je m’apercevrais plus tard que c’était une erreur fatale de faire un repas avant une dégustation)

Assez bon pour de la restauration ambulante mais tellement copieux, impossible d’en venir à bout.

Le repas n’a vraiment pas eu l’effet escompté sur moi, en revanche j’étais prête pour la sieste ! (heureusement que je n’ai pas pris de vin sinon j’étais foutu)

 

Artisan pâtissier chocolatier de père en fils la maison Philippe Chambouvet à Tence (haute loire)

A la rencontre d’un maître chocolatier & son fils aussi adorables que passionnés. Une vraie découverte pour mes papilles. Proposant à la dégustation de très bon chocolats, macarons et caramels, pâtes de fruits à la verveine, liqueur verveine maison…

Dans ma musette parmi mes favoris :

L’excellent caramel aux framboises ou myrtilles, une création originale au riz soufflé croustillant à souhait et qui ne colle pas aux dents s’il vous plait ! J’adOoOre celui à la Framboise avec son ptit goût de beurre frais (6 € le très gros sachet)

Les sublimes macarons lytchee, marron rhum, framboises enfin débarrassé de ses petites graines si désagréables en bouche (1€ pièce bien moins couteux que les grands noms, mais tout aussi goûteux)

Un très très bon chocolat praliné aux amandes et noisettes torréfiées habillé d’une belle robe de chocolat noir.

A mon avis pour les amateurs et les croqueurs de chocolat, le praliné est meilleur et bien plus puissant en goût que celui de la tablette bulle Lenôtre.

Exquis chocolats au caramel beurre salé, pistache …

A la rencontre d’un artisan chocolatier Sebastien Metoyer qui propose principalement des tablettes de chocolat aux fruits et aux fleurs BIO

Un chocolat unique, sans ajout de lait, de sucre ou de matières grasses et qui conserve toutes a toutes ses vertus.

– très intéressant et puissant le chocolat noir à la ganache au vin de bourgogne 2010 (le goût du vin rouge est très présent)

– bonne tablette bergamote, mais aussi mirabelle, lavande, lychee, géranium, thym…

L’artisan fromager Gabriel COULET et ses Roqueforts médaillés chaque année.

http://www.gabriel-coulet.fr/gabriel-coulet/vente-en-ligne/produits-alimentaires.dhtml

« La petite cave » est bon a défaut, car ils ont été dévalisé de celui que je préfère le sublime et puissant »castelviel » ^+!!!

SAUMON d’ Arzon www.fumage-arzon.fr

Pour son éxéllent saumon fumée au bois de hêtre vert délicieusement marinée à l’huile de noisette et aux algues

Pour ses oeufs de saumon extra

Ou simplement le pavé de saumon

Tarama a la poutargue

Et la merveilleuse vanille de mon revendeur favoris médaillé or 2012 pour fabuleuse gousse de vanille bourbon 

Prochainement ici www.vanilleduchef.com

Ainsi s’achève mon petit tour gourmand, car après ce repas léger et toutes cette dégustation …Moi j’ai de la ressource, mais mon complice lui ne peut plus rien avaler, obligé de renoncer de gouter a tous ces bons produits, les commerçants nous prenant parfois pour des vrais « fada » ;-(

Au radars, faut quand même que je me trouve un lit rapido moi !!!

 

Les finalistes de « Top chef » à l’Alcazar

Menu « Top Chef » au restaurant l’ALCAZAR pour faire plaisir à ceux qui suivent l’émission sur M6  ^+!!!

C’est la deuxième fois que je dîne ici, même si je n’ai pas de souvenir gustatif particulier de l’endroit je trouve le lieux très agréable. Lumière tamisée, très jolie photos noir et blanc et film projeté sur un mur. Ce soir là « LE MEPRIS »de Jean luc Godard. 1er bon point !

Nous avons décidé, avec ma complice gastronomique de l’éminent blog In The Mood For Luxe, de tester le menu des trois finalistes « Top Chef ».

Pour plus de confort nous demandons à changer de table car il faut le savoir, ici les chaises sont en acier (préférez les banquettes si vous aimez passer du temps à table) .

Pas de soucis, l’accueil est courtois rien à dire de ce coté là !

Ce soir nous dînons au rez de chaussez, le restaurant de la mezzanine étant entièrement privatisé.

Au menu je n’arrive pas à me laisser séduire par l’une des entrées proposées par nos trois chefs, je me résigne donc à prendre une entrée à la carte du restaurant l’Alcazar et une Formule Top chef (plat et dessert à 34 euros)

– Un saumon fumé d’ Ecosse et sa galette de pommes de terre. Le Saumon me semble un peu sec sur les bords avec un fumage qui manque de subtilité, et la galette de pomme de terre qui n’est autre qu’un blinis sans personnalité et froid de surcroît.

Nous avons hésité avec le plat proposé par Tabata Bonardi : épaule d’agneau confite, céleri rave à l’orange, petits oignons aux épices à couscous. Mais devant l’impossibilité de faire disparaître le céleri rave à l’orange du plat, nous sommes deux à jeter l’éponge.

Le serveur ne prendra même pas la peine de ce renseigner en cuisine de peur de se faire jeter et ne nous proposera pas non plus un accompagnement en supplement…. Je me réjouis donc de passer aux choses sérieuses avec le plat de Jean Imbert qui officie  à l’Acajou au cœur du 16e arrondissement de Paris. Il ouvre son restaurant en 2004  alors qu’il n’a que 22 ans 😉

– Un magret de canard accompagné de purée aux trois carottes et condiments de betterave à la menthe. Le magret était impec, de belle qualitée et la cuisson rosé réussi. Petit bémol je renvois la purée arrivé froide à deux reprises. A la troisième tentative elle arrive séparément chaude bouillante, brillament « micro ondée » mais bien moins savoureuse qu’au départ ;(

Tiens je n’ai pas senti le ptit goût de menthe dans les condiments !?!? En revanche j’ai bien aimé le coté croquant… Un plat plutôt bistrot authentique et honnête comme je les aime ^+!!!

Ma complice opte pour le plat de Cyrille Zen du restaurant La Bergerie de Sarpoil, une étoile au Michelin

« filets de bars en crumble de chorizo, beurre d’aromates aux agrumes, fondue de fenouil » Oh la la ça a l’air d’être un joyeux bordel dans son assiette. Il y a des feuilles de roquette et d’endive plantés fièrement dans la purée, une assiette touffu qui ne ressemble vraiment pas au plat d’un chef étoilé.

Pour ne pas me fier aux apparences je décide d’y goûter, mais je n’ai pas été convaincu par le crumble de chorizo disposé à même la peau des filets de bar.

Nous sommes pile en face des cuisines et ce soir seul le chef Cyrille Zen était présent, faisant le tour des tables (sauf la nôtre), félicité par des personnes qui ont eu l’air d’apprécier leur repas, et heureux de prendre des photos avec lui. Dans la salle pas mal de touristes, à la table d’à côté des fidéles de l’émission.

En salle, Cyrille Zen est assailli de toutes part par une foule de fans provenant de la soirée privé et qui ont tous le même désir : faire signer leur menu et se prendre en photos avec lui (on se croirait dans un film de Romero). Ils ont de la chance il est de bonne composition, très accessible et se prête au jeu bien volontiers au risque de se faire dévorer …

Côté cuisine la fête est fini, il n’est que 23h et tout le monde a déjà déserté.

Le dessert arrive

– Le rocher coulant choco-framboise de Cyrille Zen. Un rocher à la coque ultra fine qui à ma grande surprise a le goût de noisette mais vraiment pas celui du chocolat. Il est garni d’une mousse de chocolat au lait et remplis d’un coulis de framboise qui prend beaucoup trop le dessus. A déconseiller aux amateurs de chocolat.

Nous n’avons pas encore terminé notre dessert que le personnel s’affaire à redresser les tables comme dans un hôtel qui sert le petit déjeuner du lendemain… Des serviettes volent à travers la salles pour atterrir sur une pile de nappes au milieu de la pièce. Puis ils commencent à éteindre les lampes sous notre nez, certains ayant même l’audace de grimper sur les banquettes pour enrouler les stores. L’intimité et le mystére des cuisines nous est alors dévoilé ;( Un immense charriot de verre a même fait son apparition. On a la désagréable impression d’être de trop…

Triste spectacle que l’on épargne aux clients habituellement. Pourtant le restaurant est sensé fermer dans une heure, c’est vraiment le Titanic en 3D! Au seeecOoOurs on se noie ici ! Heureusement l’addition arrive dans la foulée comme par magie. Vite fuyons avant que l’aspirateur ne se lance à notre poursuite !!!

L’évènement éphémère « Top Chef » se terminera le 30 avril 2012.

Sur l’échelle de Marguerite ce lieu est noté « un peu » même si je pense que la cuisine de ces chefs mériterait avant tout d’être testé directement dans leurs restaurants respectifs pour plus de recul…

Allez y si vous êtes vraiment fan de l’ émission et ne ratez pas la grande finale « TOP CHEF » lundi 9 avril 2012 à 20H50 sur M6 !

 

De l’amour au restaurant le Grand Véfour

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L’AmOoOur, ça se fête !

C’est dans le quartier romantique des jardins du palais royal au « GRAND VEFOUR », haut lieu gastronomique de la vie politique artistique et littéraire de Paris depuis 200 ans, que nous avons choisi de célébrer l’événement.

2 étoiles au guide Michelin et membre relais et chateaux depuis 1986

Cela fait plusieurs années que je rêve en entendant parler des talents de ce grand artiste des fourneaux, Guy Martin, qui officie au GRAND VEFOUR depuis 1991.

J’ai d’autant plus de curiosité de gouter à sa belle cuisine car c’est un autodidacte à la personnalité atypique, qui a la particularité d’avoir reçu sa première étoile alors qu’il n’était chef que depuis six mois, et qu’ils n’étaient que trois en cuisine …

La peinture étant sa principale source d’inspiration, il cuisine comme d’autres peignent … Il parait qu’il dessine des recettes qui naissent dans sa tête, qu’avec lui la cuisine est un plaisir d’esthète et que chaque plat est une toile de maître.

Rendez vous pris, nous arrivons sur les lieux du crime avec une faim de loup.

Je confirme que l’accueil est absolument royal et charmant avec tout les clients et ce malgré notre retard (mon quart d’heure de politesse à moi …)

Complètement surexitée à l’idée de déjeuner ici et là @%!^°§ ptit problème technique avec ma fermeture éclair … Suspense, non c’est bon finalement je vais pouvoir manger sans m’afficher coincé dans ma veste, Ouffff !

Nous traversons une grande et magnifique salle avec une déserte centrale.

Le directeur qui nous accompagne à notre table, celle de DUMAS père, toute proche de celle de Victor Hugo .

Le directeur prend bien soins de nous parler de ce lieux chargé d’histoire qui au départ portait le nom de « Café de Chartres » (l’enseigne est encore visible). Sur ces banquettes s’assirent Napoléon et Joséphine, mais aussi Victor Hugo, Colette, Jean Cocteau, Maria Callas, Marcel Pagnol, Sacha Guitry et bien d’autres noms illustres. Il nous abandonne à notre rêveries (imaginer le monde qui se pressait à la belle époque, la Belle Otero virevoltant sur les tables de marbre rose sous les yeux de ses amants royaux …) Puis le maître d’hôtel prend le relais tout en douceur.

C’est un personnage ce maitre d’hôtel. Il est d’une sincère gentillesse qui chérie sa clientèle (comme ses propres enfants), qui ne cesse d’avoir de petites attentions et qui veille à ce que que personne ne manque de rien, on est vraiment aux ptits oignons !

Il a de l’humour et c’est agréable car c’est plutôt rare dans les restaurants étoilés. On sent bien que son métier le passionne.

C’est un merveilleux restaurant qui a gardé son esprit brasserie à l’ambiance chic & décontracté sans être guindé.

Dans la grande salle sur la desserte situé au centre de la pièce, on peut admirer à loisir la beauté des plats qui sortent ainsi que le ballet du personnel de service qui s’affaire dans la bonne humeur. Ils sont heureux de travailler ici et ça se voit *+!!!

Le directeur, le maître d’hôtel, les chefs de rang, les commis, le vestiaire et le caissier, pas moins de 15 personnes en salles (je les ai compté) qui s’appliquent à vous faire plaisir.

Il y a également une autre salle plus petite pour ceux qui désirent se protéger des regards indiscrets et un salon particulier à l’étage pouvant accueillir jusqu’à 20 personnes.

La salle est comble, le rideau se lève, roulement de tambour et applaudissements, maintenant le festin va pouvoir commencer !

– Les indispensables : au choix, fraiche baguette croustillante et dorée faite maison, blanche ou aux céréales, accompagné d’un beurre doux et d’un salé (sous cloche en argent, s’il vous plait!)

Oh la la, ça commence bien il vas falloir se calmer si je veux mener à bien ma mission jusqu’au bout (ahahah, la table voisine ne peut s’empêcher de se faire des tartines…)

– Jolie petite bonbonnière de fleur de sel en porcelaine .

– Mise en bouche : 2 jolis cubes moelleux de foie gras blotti contre une mince chips craquante de betterave rouge et accompagné de son chutney et ptit bouillon de légumes.

– Entrées : on m’annonce Foie gras de canard, mitonné d’ananas et fruit de la passion (à la cuisson parfaite mi cuit rosé comme je l’aime)

ce que je vois ce sont deux solides pyramides de foie gras fièrement dressés sur un tapis volant de gelée de fruits exotiques acidulés, entourés de surprenants petits ananas farceurs. Le tout accompagné de son pain juste grillé.

Bar de ligne préparé en tartare et mariné, des betteraves cuites et crues relevées au wasabi.

Le bar est un tableau de maitre très coloré d’une beauté remarquable avec une multitude de détails. On ressens bien le coté artistique du chef.

– On m’annonce en plat : Filet de canette de barbarie, peau croustillante, figues acidulées, gnocchi au potimarron, jus de betterave et cassis.

J’aperçois deux jolis morceaux de canette délicatement allongés sur un épais et moelleux matelas de figues fraiches.

Prenant un bain sous une insolante cascade de sauce au cassis marié à la douce betterave et accompagné de cinq petits gnocchis de betterave et potimarron au choix suivie d’une pimpante gondole de potimarron ainsi que 2 quenelles de purée de pomme de terre et ses jeunes pousses d’épinard.

Il va s’en dire que la cuissons des plats, les assaisonnements, les accompagnements sont superbes de justesse.

– Et le fromage, parlons en du fromage j’adOooore ça ! (c’est bien cela le problèèèèème, mais c’est pas le seul…)

Un incroyable choix de France et de Savoie.

Pour ma part j’ai opté (j’ai craqué) sur un brebis, le Roquefort « vieux berger » de l’artisan Yves Combes (pour changer du « Castelviel » de Gabriel Coulet dont je suis addict) et un sublime chèvre Mothais à la feuille quant aux autres je ne me souviens plus de leurs ptits noms respectifs …

Accompagné de pain de campagne aux noix ou nature ou d’une fine baguette de pain blanc.

– Dessert : Palet noisette et chocolat au lait, glace au caramel brun et prise de sel de Guérande. J’ai choisi ce dessert sur les bons conseils de mon amie et complice gastronomique de toujours. Elle me l’a recommandé à deux reprises car depuis qu’elle y a gouté, elle en est sous le charme … Vous pouvez voir son article sur son site : Inthemoodforluxe.com

Devant tant d’enthousiasme, je fini par céder à la tentation.

Et là, je succombe. C’est l’ apothéose, le grand final !

WahOoOoo, la force de ce nappage au chocolat noir rutilant, le croquant de ces noisettes grillées et légèrement caramélisées (il me semble), la douceur aérienne de l’ assemblage au chocolat au lait contenue dans ce petit cylindre de chocolat noir et surmonté de la force de caractère d’une glace caramel au beurre salé.

Un subliiiime mélange en bouche à la texture de velours qui fait de ce dessert un véritable chef d’oeuvre !

Orgasme gastronomique garanti ^+!!!

Le chef vous aime et il vous le fera savoir tout au long du repas et en le finalisant par une part de son gâteaux de Savoie (sa région d’origine). L’estocade vous sera portée en vous servant, tout autour du dessert, une avalanche de petits plaisirs parfaitement exécutés, plateaux de chocolats (café-coriandre, framboises, menthe, etc…) réglette de pâtes de fruits (abricot et cassis), choix de nougat, caramels et guimauves aux fruits exotiques, mignardises (tartelette citron, tarte chocolat, religieuse fruits de la passion, surprenant et très bon, et le très délicieux macaron à la crème de marron) petite verrine d’agrumes à la grenadine parsemé de sucre pétillant qui explose en bouche (petit clin d’oeil à l’enfance). Le client Russe de la table d’à coté les a même renvoyé « Qu’est ce que c’est ça ? » « C’est pour vous faire plaisir monsieur. »  « Apportez nous directement les desserts SVP ». Je pense qu’il a du prendre peur de ne plus avoir suffisamment faim pour son dessert, enfin j’espère… D’ailleurs de mon coté malgré mon ptit déjeuner ultraaa light ce matin je dois m’avouer vaincu sur la fin. J’épargnerais donc les caramels avec regrets, la mort dans l’ âme, moi qui me fesais un plaisir de tout gouter pour faire honneur au travail du chef Guy Martin et de sa brigade (Ah la la, comme j’aimerais être petite souris pour me glisser discrètement entre le piano et les casseroles en cuivre comme dans le dessin animé Ratatouille )

Hahaha, le Grand Véfour vous propose un café gourmand par la suite, je serais curieuse de savoir ce qu’ils ont bien pu ajouter au festin royal des mignardises …

Service impeccable ultra professionnel sans être envahissant.

Ambiance légère, légère, légère.

J’ai véritablement été transporté par la divine cuisine de ce très grand chef qui nous a offert dans un écrin somptueux un fabuleux voyage gustatif pendant près de 3 heures.

Un sans faute, pas un mot de trop, pas un faux plis, pas une bavure, rien à redire j’vooous diiiit ! Au Grand Véfour, Guy Martin à pensé à tout dans les moindres détails mais pas uniquement dans l’assiette, il s’est aussi posé les bonnes questions en se mettant à la place des clients « qu’est ce que j’aimerais manger », « comment j’aimerais être accueilli », etc… A mon sens la 3* étoile Michelin est toujours bien présente (même si elle lui à été injustement confisqué en 2008)

Guy Martin sacré meilleur CHEF du 21éme siècle au JAPON, connaissant bien l’état d’esprit et le raffinement nippon, franchement ça ne m’étonne pas une seconde. Compter 96€ pour les déjeuners du « Grand Véfour » et trois fois plus à la carte. Mais ce ne sont que des au revoir car j’ai un cours de cuisine prévu à « l’atelier Guy Martin« , un judicieux cadeau d’anniversaire *+!!!

Sur l’échelle de « Marguerite » ce lieux est noté « A LA FOLIE ! » et les papilles à la fête disent « encOoOore ! »

www.grand-vefour.com

On ne pouvait espérer mieux comme repas d’ anniversaire, c’était bien au-delà de mes attentes Meeerciiii mon glAmOur ^+!!!

Restaurant « Dans le noir ». J’ai fini par y aller … pour voir

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Cela faisait un moment que l’on me parlait de ce restaurant « DANS LE NOIR », j’ai fini par y aller … pour voir !

J’avais invité deux amis ravis de tenter l’expérience. Rendez vous pris pour le premier service.

Une charmante hôtesse nous accueille et nous brief rapidement sur la situation (de crise). Elle nous demande si on connait le concept, le plus blagueur d’entre nous répond « non ! » « Vous aller manger dans le noir total » « AH BON !?! Mais on m’avait pas mis au courant ! »

Puis elle nous informe des règles particulières à observer : il faut crier haut et fort « Sofiaaaa ! » (le nom de notre guide et serveuse non voyante) si on veut quelque chose. Bon bah moi déjà c’est clair, j’aurai besoin de rien parce que j’oserai j’amais crier son nom même dans le noir.

Elle nous avise qu’il ne faut surtout ne pas se lever tout seul. Et là, je commence un peu à m’inquiéter (et si je me prenais les pieds dans le tapis, m’assomais contre un pilone pour finir écroulée sur la table du voisin, couverte de vin…) Elle nous prévient qu’après le rideau il n’y aura aucune source de lumière. On nous confisque téléphones, appareils photos et sacs à main ainsi que nos vêtements (enfin pas tous heureusement, seulement les manteaux…) que l’on doit déposer dans casier qui ferme à clefs.

Il faut un chef de troupe (eh ben ce sera pas moi !) pour que Sophia s’y retrouve car elle a plusieurs tables à s’occuper. Pas très rassurée, je refuse catégoriquement d’ouvrir le cortège et me place stratégiquement entre les deux garçons ni devant ni derrière au cas ou on viendrait m’attaquer par surprise. On se met à présent à la queue leu leu, les mains sur les épaules de celui qui est devant. Vous comprenez pourquoi j’ai refusé maintenant…

Et m**de, ça y est il fait noir ! J’ai l’impression de marcher les yeux fermés … donc je ferme les yeux c’est moins stressant (j’ai l’impression de rentrer dans le train fantôme). Elle laisse le chef de troupe accroché à un poteau au milieu de la salle pendant qu’elle installe le groupe d’avant (il aurait fallu filmer ça)

Sofia a une voix très douce, elle est très rassurante par ses paroles mais aussi par ses gestes. Oui on se touche beaucoup dans le noir.

Heureusement elle se souvient de tout nos prénoms, c’est plus simple pour faire le service.

Elle nous installe à notre table, les gens parlent très fort et nous aussi. Il n’y a pas de fond sonore, on peut donc profiter de la conversation de la table d’à coté pendant que l’on a la bouche pleine. J’ai l’impression d’une grande tablée de 10/12 personnes. Je ne peux commenter ni le décors, ni la présentation dans l’assiette et à peine la nourriture & le vin. Au bout de 5 minutes de conversation je me sens ridicule et rouvre les yeux en pensant que je vais m’habituer à l’obscurité. Et non ! Grosse déception, je ne suis pas un chat en fait. Je suis juste en train de vivre l’expérience d’un non voyant et c’est vraiment pas évident pour moi alors j’imagine pour eux au quotidien …

Et là un vent de panique ! Je sens que je vais tomber dans les pommes mais mon fiancé me rassure et ça passe finalement. Le manque de repères probablement …

Au bout d’un moment je me demande comment font les autres pour manger correctement. Ils m’annoncent que cela fait déjà un moment qu’ils mangent avec leurs doigts … J’ai pas trop envie mais bon, je suis bien obligé de céder parce que j’en ai vraiment plus qu’assez de piquer dans le vide quasiment à chaque reprise ;( Et pour couper la viande je vous raconte pas le carnage ! Heureusement qu’il n’y a pas de témoins …

En tout cas je trouve que manger dans le noir décuple la saveur des aliments sans les identifier vraiment, on aprecie mieux ce que l’on mange .

Et interdit de tripoter son voisin ! (je precise que je parlais de mon fiancée) … Il pense qu’il y a des cameras infrarouge (Ooooups! ca devient de plus en plus contraignant ce concept. Amoureux s’abstenir !)

On opte pour un menu surprise classique entrée-plat ou plat-dessert (41€) + 2 verres de vins rouge .

Un verre de vin rouge bio espagnol (impossible de deviner)

En entrée Il y avait du foie gras, facilement repérable pour moi, accompagné de pain au noix (qui se révélera être un cake)

En plat de l’agneau (identifiable à son goût prononcé) et un gratin de panais (un de mes légumes favoris). D’autres avaient reconnu du choux fleur (hihihi). Je regrette un peut que le plat soit arrivé tiède mais c’est probablement pour éviter les accidents de parcours.

Ooooups ! Evidemment, j’ai eu la bonne idée de me servir un verre d’eau toute seule sans mettre mon doigt dans le verre et sans crier Sophiaaaa ! Résultat il y en a plein autour de mon assiette et sur le bord de ma table, et là ça commence à couler sur mes genoux ( je ne dirai rien je vais essayer d’arranger ça)

Tiens d’ailleurs, vu la tournure qu’a pris le dîner, aucun de nous n’ose crier « Sophia ! » pour aller au ptit coin…

Pas de desert, ni de café.

On règle l’addition dans le noir également bien sur, et on vous rend la monnaie en pieces de chocolat et billets de monopoly… (Je plaisante bien sur !)

On ressent quand même le besoins de sortir pour se voir vraiment, on décide de finir la soirée ailleur.

Le chef de troupe crie « Sophia ! » pour nous sortir de là. L’expérience aura durée environ une heure.

Si vous êtes un peu réticent sur le concept mais de nature curieuse vous pouvez toujours venir prendre un verre. Après le service du vendredi ou samedi soir le restaurant se transforme en bar de 23H30 a 1H du matin. Condition sinéquanon y aller à plusieurs et éviter les « dates » sauf si vous aimez les surprises bonnes ou mauvaises *+!!!

Pour l’aventure intéressante et inédite ce lieux est noté « beaucoup » sur l’echelle de marguerite

 

Le croque monsieur version Palace

Je pénètre dans ce palace où la sécurité se fait discrète mais est bien présente, ici pas de ton condescendant ni de regard insistant ou de remarque désobligeante. Tout le monde salue cordialement avec un léger sourire au lèvre (c’est la charte de l’établissement)

Idéal pour une petite pause gastronomique car le service est continu dans les 3 salons 😉

Très cosy la petite table au coin du feux *+!!! C’est grâce à ce prestigieux groupe hotelier asiatique « Shangri-la hotels » que cet ancien hôtel particulier, classé monument historique en 2009 et ayant appartenu à la famille Bonaparte, à retrouver son âme et son esprit de l’époque Empire.

L’art de vivre à l’asiatique mélangé à l’art de vivre à la française, un veritable succès pour les yeux.

Morte de faim j’me lance dans la commande très classique d’un croque monsieur au pain brioché. Il fallait oser ( rien à voir avec la brioche du petit dejeuner bien sur) L’ambiance est feutré, la clientèle chic et discrète.

C’est un croque monsieur au pain brioché. Je l’examine sous toutes les couture et MiaaaaM !

Ohhhh le moelleux de ce croque monsieur, la qualité irréprochable de ce jambon blanc associé à ce fromage de premier choix chaud et doré à souhait. Ahhhh ce fromage aussi puissant que fondant en bouche. Mes papilles font waOoooou, un véritable régal ^+!!!

J’ai honte, c’est un peu bête à dire mais c’est probablement le meilleur croque monsieur que je n’ai jamais mangé, vraiment exéeeellent (rien que d’y penser j’en ai encore l’eau à la bouche…)

Alors que j’étais en train de souligner le travail remarquable du chef patissier François Perret et de son merveilleux mont blanc (dégusté à l’afternoon tea du restaurant LA BAUHINIA), le maitre d’hôtel exauce immediatement mon désir en me proposant ce magnifique dessert que j’aime tant (belle intention, alors qu’il ne parait pas sur la carte de la petite restauration).

Je doit vous confier que j’étais déjà venu en repérage avec mon amie et complice gastronomique de toujours. Elle a d’ailleurs écrit un article que l’on peut voir ici

YOooouhOooou les papilles sont doublement a la fête !

La perfection ce petit Mont Blanc « as usual », un pur moment de bonheur et de plaisiiir ^+!!!

Le personnel est très avenant et à l’écoute, le service est impecable.

Au-delà de la notion de service, le groupe Shangri-La Hotels (basé à Hong Kong) développe un sens de l’hospitalité qui justifie sa réputation de premier groupe hôtelier de luxe d’Asie Pacifique, Shangri-La Hotels.

L’endroit est agréable et confortable au point de vouloir bien volontier y prolonger le moment (tiens c’est déjà l’heure de l’apéritif).

 

Sur l’échelle de marguerite, ce lieux est noté  » à la folie  » .

Mais au fait, quand est ce qu’ont reviens ?

Les confidences culinaires de Candice Patou

Le soir de la dernière de « Une Femme Nommée Marie » au palais des congrès, Candice Patou (comédienne et Mme Robert HOSSEIN, s’il vous plait !) m’accorde quelques minutes pour répondre à toutes mes interrogations culinaires. Elle me propose gentiment de passer dans la loge pour une interview culinaire. Mais elle a failli ne jamais avoir lieu, car il faut que je vous dise que j’ai envoyé quelqu’un qui la connait à peine en éclaireur, pour savoir si elle accepterait de m’accorder quelques minutes de son temps. Et elle a dit oui ! Cela n’a vraiment pas été aussi simple pour moi, c’est mon éclaireur (et ma petite voix, à laquelle je n’obeis jamais du reste) qui m’a dit : « Mais qu’est ce que tu F@%§ ! Bon allez maintenant tu y vas, je t’accompagne ! » dans mes ptits souliers, la bouche pleine d’excuses foireuses du style « Nan mais c’est pas grave, elle a probablement bien mieux à faire ! Tiens d’ailleurs elle s’apprête à partir, Bla bla bla ! »

Après avoir réussi à me trainer devant elle je lui ai redemandé si cela ne la dérangeait toujours pas et que cela ne prendrait que quelques minutes. Pour elle c’est toujours oui (Ah bon ? Malgré avoir reculé au maximum l’échéance au maximum ! Mais qu’est ce que je vais deveniiiiir…) In extrémis car elle est sur le départ.

Et là je me demande à quel sauce je vais bien pouvoir être mangée *^*

Mais en fait je m’aperçois rapidement que Candice est une femme très agréable qui peut paraître un peu reservée au premier abord alors que … c’est moi qui suis réservée, pour pas dire morte de trouille.

Puis j’ai un doute, je me demande tout à coup si je ne vais pas trop l’assommer ou l’anesthésier avec mes questions (Oh la la dans quel pétrin je suis encore fourré !)

Prise de panique je lance un rapide regard vers la porte, elle est fermé. Trop tard pour prendre mes jambes à mon cou et fuir, zut !

J’essaye de rassembler mes esprits, pense à mes amis blogueurs journalistes, et me lance sans filet.

J’ai peur parce que c’est la toute première personnalité à avoir accepté, puis je m’aperçois qu’elle joue le jeu et se livre généreusement au fur et à mesure de mes questions, pertinentes ou pas.

Quel est votre aliment Doudou ? Une odeur un goût qui vous rappele votre enfance ?

La vanille, les crémes vanillées.

Quel est votre épice favorites ?

Le curcuma, je le met dans tout ! Les salades, et même au petit déjeuner. Je le mélange à du poivre et à des céréales broyés à la noisette que j’achète dans un magasin BIO. C’est merveilleux et ça a aussi un petit goût de vanille. Ce sont des céréales que j’achète dans un magasin BIO, c’est assez énérgétique. Curcuma, poivre, céréales aux noisettes et bananes très mures et c’est magnifique, c’est bien parti pour la journée !

Quel est votre petit péché mignon ?

Le chocolat noir. J’adore, mais je fais attention. Comme j’aime le chocolat mon péché mignon c’est de rentrer dans la meilleure des chocolateries. Donc si je suis proche de Debauve & Gallet, c’est merveilleux mais cela peut être n’importe où parce que l’odeur du chocolat c’est enivrant ! D’ailleurs il ya avait deux chocolateries à Lourdes et le monssieur me voyait presque tous les jours. C’est merveilleux le chocolat mais il ne faut pas en abuser. Le chocolat c’est vraiment extraordinaire !

Quel est l’aliment qu’il est impossible de vous faire manger ?

Je n’aime pas les tripes à la mode de Caen, les abats, la tête veau. Même la tête veau chère à monsieur Chirac je la lui laisse (rires)

Est ce que vous avez une recette à succès ?

Plus maintenant car je n’ai plus le temps de cuisiner. Quand je recevais à la maison, et comme je suis une fille du nord, je faisais des plats comme du pot au feu, des plats comme ça. Mais maintenant j’ai évolué aussi dans la manière de me sustenter, alors donc j’aime beaucoup les côtelettes Pojarsky que Robert (Hossein) me fait. Moi j’adore être assise et le regarder faire ses côtelettes Pojarsky, il les réussi à merveille ! (un grand classique de la cuisine russe)

Avez vous une particularité culinaire ?

J’ai pour habitude de rater mes mayonnaises si quelqu’un me demande de tenir quelques chose, c’est sur quel est raté, je ne l’ai j’amais réussi de toute ma vie ! J’ai tout essayé même Robert viens quelquefois m’aider, mais il ne fut pas que je soit a coté de la mayonnaise, voilà.

Qu’est ce que vous aimez grignoter sur un tournage ou une pièce de théâtre ?

Les fruits secs, les amandes, les noisettes ça alors je suis fan de ça ! j’aime ces choses la je trouve que ca donne un coup de pep’s de l’énergie. Je préffere ça plutôt que le pain, les gateaux mais aussi c’est une maniere de vie differente que l’ont a au fil des années. Et j’adore aussi les banane mais bien mûres (également au petit déjeuner avec mon curcuma ) j’ai l’impression qu’il y a pleins de vitamines !

Puis M. Robert débarque, OooouPs je m’dit fébrilement « time is over », mais en fait non, he’s CoOol !

On prend quelques photos. On dirait deux ptites filles, très rigolotes et je décide de m’éclipser .

Merci, Candice c’était trés ChiC *+!!!

Merciiii à mon ange gardien d’avoir pris les choses en main malgrés mes multiples tentatives de sabotage…

Délices de Venise

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Alors qu’on le croyait perdu il arrive enfin, en provenance directe de Venise ce matin le colis tant attendu de mon amie Monica remplit de délicieuses surprises *+!!! (c’est pas mon anniversaire pourtant ?!?!?)

Tout d’abord Monica est amoureuse de Paris comme je le suis de Venise, mais c’est n’est pas notre seul point commun.

C’est une gastronome qui se rend chaque année en Toscana pour se procurer son huile d’olive à peine pressées, cet exquis liquide doré est l’ingrédient de base (on cuisine même les branches d’olivier) et faire le pleins de bien d’autres specialités…. Tel que cantucci (gâteaux aux amandes) finocchina (salami parfumé au fenouil sauvage) …

Pour info, Il paraitrait que la cuisine Italienne est née en Toscane, grâce au goût raffiné de Catherine de Médicis (A lire également, mon article sur « la maison de la Toscane »)

Grace à Monica j’ai pu découvrir Venise comme une vrai Vénitienne. Elle a pris le temps de me présenter à tous ses commerçants favoris et j’ai pu faire mon marché au Rialto chaque jours en achetant des produits de toute fraîcheur, top qualité ! Non seulement elle est adorable et généreuse mais en plus elle cuisine comme un chef (ahhhh la pasta di anatra mama mia !). Elle m’a fait découvrir la cuisine Venitienne et celle de Toscane également (Ragout de chianina que j’adOoore, l’ontueux ragoût « alle lepre » à base de lièvre agrume cacao romarin légumes et vin rouge, la cote de boeuf à la fiorentina un moelleux et un saignant qui me font fantasmer, le fromage, la charcuterie, etc…) et tout cela à sa table dans une ambiance à l’italienne très joviale.

Monica est une personne affable, prévenante et hospitalière toujours curieuse de découvrir de nouvelles personnes.

Elle dispose d’un appartement entièrement destiné à la location saisonnière, c’est comme cela que j’ai fait sa connaissance.

http://www.homelidays.com/venezia/appartement431387fr1.htm#AnchorPhotos

Et quand elle viens à Paris c’est à mon tour de m’occuper d’elle en lui faisant découvrir de nouveaux produits, restaurants , salons de thé et autres bistronomiques ^+!!!

Dans mon délicieux colis surprises de ce matin:

Fragolino Bianco. c’est une sorte de vin blanc pétillant et liquoreux au gout de fraise des bois, mon irresiiiistiiiible peché mignon. Le bianco est difficilement trouvable à Venise et encore moins en dehors de l’Italie (pour le fragolino rosso, il ya en a partout même à l’aéroport, mais il a un goût moins attipique…)

Burro di Tartufa bianca (beurre à la truffe blanche simplement sublime sur des gnocchi maison)

Bianchetta Caciotta Toscana al tartufo (Fromage à brisures de truffe, spécialités Toscane au lait de vache et de brebis que je vais avoir le plaisir découvrir…)

Bussolai Buranei (spécialités de burano que les Venitien adore, ce sont des gâteaux secs à manger tels quels ou à tremper dans le fragolino)

Biscuits aux amandes et aux raisins (que je vais decouvrir rapido …)

Bussolai Buranei (au chocolat)

Grazie cara Monica per l’amicizia fedele e tutte le cose deliziose del Italia *+!!!

Vous allez craquer sur des gésiers !!!

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La MAISON JACQUIN est de passage à Paris, ils se sont installés dans un petit chalet pour quelques jours à l’église d’Auteuil. Yoooupii, j’en profite pour faire mon ravitallement gastronomique et gourmand …

La maison Jacquin travaillant sur un circuit court garantit l’authenticité et la qualité des foies gras et conserves fines.

Tous les foies gras etant séléctionnés un à un et le respect des recettes traditionnelles concourent à vous proposer un produit d’exeption.

Après le magret séché déjà excellent et autres délicieux produits plusieurs fois médaillés (voir article « salon cuisinez ») je m ‘apprête à déguster :

– les gésiers confits :

WahOooo, incroyaaaablement fondaaaant, subtilement confit et justement assaisonnés .

Faites moi confiance, ces gésiers là sont vraiment exceptionnels, OoOrgasme gastronomique garantie *+!!!

Absolument rien à voir avec ceux en caoutchouc que l’on trouve parfois dans le commerce, et même parfois dans certains restaurants

Souvenez vous de ceux qui vous ont donné l’impression de mâcher une balle de tennis et qui vous ont probablement fait détester les gésiers à jamais!

– Le marbré de magret au foie gras entier 37%

(se découpe comme un gros gâteau à partager entre potes à l’heure de l’aperitif ou en entrée sur un ptit lit de salade)

– Magret de canard, médaille de bronze paris 2011 (parfait en salade, mais encore meilleur dans le pot au feux)

– Confit de canard ( hmm, accompagné de pommes sarladaises aux cèpes, mais pourquoi ne pas se laisser tenter par un hachis parmentier de canard…)

– Foie gras de canard , medaille d’argent paris 2010(à toutes les sauces ! Simplement sur un bon pain de campagne toaster, sur des oeufs en mini cocotte)

Prochain salon parisien sur la Péniche Maxim’s les 23 et 24 Mars prochain, puis au Parc Floral à Vincennes du 30 mars au 01 Avril.

C’est moi qui l’ai fait : le Chirashi

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Ultra simple, la recette de Chirashi (JAPON) :

 

Ingrédients pour 2 pers :

2 verres de riz japonais pour shushi (marque Shinode ou autre)

Vinaigre de riz pour sushi

Sauce Soja Japonaise (claire/light )

400G de saumon frais (Thon, daurade, crevette, ou autres poissons)

1 petit pot d’oeufs de saumon

1 petite feuille d’algue japonaise (nori)

une demie C.c sésame noir

une demie C.c sésame blanc

Wasabi

 

La préparation du riz :

Laver soigneusement le riz 2 a 3 fois afin d’éliminer l’amidon et d’éviter qu’il ne colle, puis je le met au rice cooker (inratable)

Pendant ce temps je découpe des morceaux de saumon frais en lamelles.

Une fois le riz cuit et encore chaud j’ajoute 2 à 3 c.s. de vinaigre de riz japonais pour sushi (vinaigre sucré qui donne un aspect brillant), et je « met l’ange » délicatement avec l’aide d’une « Maryse » (spatule) pour ne pas briser les grains de riz.

Ajouter le sesame noir et blanc, mélanger a nouveaux puis recouvrir le riz d’un linge humide pour éviter qu’il ne sèche.

Parsemer ensuite d’algues séchées (nori)

Servir le riz dans des grands bols, disposer le poisson en lamelle sur le dessus puis ajouter une C.c d’oeuf de saumon.

Accompagner de sauce soja (la japonaise fait toute la difference) et de Wasabi .

Vous trouverez tous ces ingredients dans les épiceries japonaises mais aussi facilement à Belleville ou dans le 13 ème.

Régalez vous !